Bien évidemment, depuis la fermeture d’1Kult, je n’ai pas abandonné l’écriture, bien au contraire. Et la diffusion au Paris International Fantastic Film Festival la semaine dernière de deux films que je guette depuis de nombreux mois m’a poussé à publier un petit texte dans la taverne de Culturopoing.
Le premier, c’est Blind Sun (précédemment intitulé Canicule), premier long-métrage lumineux de Joyce Nashawati, remarquée par un triptyque de courts remarquables. Le second, c’est LE nouveau film de Lucile Hadzihalilovic, avec qui j’ai travaillé lors de l’édition de son moyen métrage La Bouche de Jean Pierre. Après Innocence, la cinéaste s’impose une fois encore comme une artiste majeure, probablement l’une des plus grandes de sa génération.
La critique, intitulée Il y a chef d’oeuvre et chef d’oeuvre… est lisible ici.