Il y a quelques années, lors d’un évènement organisé par Metaluna Store et Panic Cinema, j’ai eu l’occasion d’interviewer avec Anthony Plu (qui posa avec moi les questions) et Guillaume Perrin (qui s’est surpassé au cadre), soit l’équipe de Badlands au complet le réalisateur transalpin Sergio Martino.
Un artisan qui a traversé les modes de l’âge d’or du cinéma italien, que ce soit la comédie, le western ou surtout le giallo, genre dans lequel il signa quelques pépites. Cette interview qui est resté quelques mois sur mes disques durs, a été mon premier montage sur Final Cut Pro X. Formé et adepte de la version 7, j’ai comme beaucoup remis à plus tard le passage à la nouvelle mouture du logiciel, qui change radicalement par rapport à la précédente. Mais après une première année calamiteuse et de nombreuses mises à jour, le logiciel a su s’imposer par sa rapidité, sa fluidité et, quoi qu’on en dise, par ses grandes qualités intuitives, notamment au niveau des exports sur une plate-forme vidéo. Aujourd’hui, il me semble difficile de repasser sur la version 7 du logiciel.
Le montage final d’une quinzaine de minutes a été offert à The Ecstasy of Films qui l’a inclus en bonus du Blu-ray de Torso du même réalisateur. Parallèlement, il a été mis en ligne sur 1Kult. Le voilà ci-dessous :
J’en profite pour vous proposer une nouvelle pastille #LeBonus, avec un extrait inédit dans lequel le réalisateur parle de Edwige Fenech, une de ses actrices fétiches.