#Musique : French O.S.T. Volume 1

Cela faisait longtemps que l’idée de mettre en ligne un mix me tentait. Entre deux points de montage, j’en propose un, forcément centré autour de musiques de films français. Une anthologie de 13 titres, pas forcément introuvables ou rares, mais qui s’agencent assez bien je pense.

TRACKLISTING :

  • 01° Le Bracelet (OST La planète Sauvage) de Alain Goraguer
  • 02° Danger (OST Cannabis) de Serge Gainsbourg
  • 03° Une Journée bien remplie de Bruno Nicolai
  • 04° L’Alpagueur de Michel Colombier
  • 05° Tu m’tapes sur les nerfs (OST Le Treizième caprice) de Louis Marischal
  • 06° Meme Boul Pop (OST La Mandarine) de Claude Bolling
  • 07° La Frite équatoriale (Maquette pour le film Chut !) de François de Roubaix
  • 08° Sunny Road to Salina (OST La Route de Salina) de Christophe
  • 09. Leslie’s Jerk (OST Tu seras terriblement gentille) de Jacques Loussier
  • 10° Riz Complet (OST Les Babas-cool) de Nino Ferrer
  • 11° Mais ne nous délivrez pas du mal de Claude Germain et Dominique Ney
  • 12° Get It Up Baby (OST Sex O’ Clock USA) de Mort Shuman
  • 13° Le Testament (OST Mesrine) de Jean-Pierre Rusconi

En vrac, on y trouve des grands noms tels François de Roubaix (La Frite équatoriale, réédité il y a quelques années en 45 tours, et dispo sur une compil Ecoutez le cinéma !), Claude Bolling, Michel Colombier, et bien évidemment Serge Gainsbourg (que serait une compilation de musique française sans Gainsbourg ? Pas grand chose), mais avec une sélection de films peut-être moins connus. A côté, on a des auteurs moins connus dans le domaine de la bande originale comme Jacques Loussier et la BO hallucinante ressortie chez feu Vadim Music de l’oublié Tu seras terriblement gentille ou alors Riz complet, une des rares participations de Nino Ferrer au septième art, dans un de mes gros plaisirs coupables qu’est Les Babas-cool.

Un petit mot enfin sur les dernières pistes : il faudrait se pencher plus sérieusement sur la bande originale du formidable Mais ne nous délivrez pas du mal de Joël Seria, toujours inédite à ma connaissance. Son ton lancinant fait beaucoup pour la réussite de ce film des plus vénéneux.

On passe à deux choses aux tempos radicalement différents : le rare Get It Up Baby de Mort Shuman, qui mériterait lui aussi une réédition de ses participations cinématographiques, et on finit avec une entêtante bêtise signée Jean-Pierre Rusconi qui singe Moroder, pour le final du Mesrine de André Génovès.

PS : La qualité n’est pas toujours optimale, mais sur des sites spécialisés vous trouvez CD et vinyles de ces titres pour quelques euros. Vous savez quoi faire !

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